Adèle a révélé qu’elle avait déménagé à LA parce qu’elle « ne pourrait jamais se permettre » le genre de maison qu’elle voulait à Londres. 1g51e
Le chanteur de 33 ans s’est récemment assis avec Vogue pour une conversation sur la vie à Los Angeles, où elle est principalement basée maintenant dans ce qui est signalé être une maison d’une valeur de 7,7 millions de livres sterling.
Adele, qui est de Londres – où elle est aussi dit à posséder un manoir Kensington de 11 millions de livres sterling – a expliqué que c’était en partie dû à la qualité de vie que LA lui offrait, mais aussi à l’argent.
« La majeure partie de ma vie se e dans une voiture ou à l’intérieur d’un bâtiment », a-t-elle déclaré.
« Je voulais de l’air frais et quelque part je pouvais voir le ciel. De plus, une fois que j’ai eu Angelo, en Angleterre, si vous n’avez pas de plan avec un jeune enfant et qu’il pleut, vous êtes foutu.
« Et le genre de maison que j’ai à LA, je ne pourrais jamais me le permettre à Londres. Jamais. »

Lorsqu’on lui a demandé si elle « pourrait probablement » s’offrir la bonne propriété, Adele a ajouté: « Non, j’ai regardé les maisons. C’est comme des centaines de millions de livres. Je n’ai pas beaucoup d’argent du tout. Je vomirais. »
Dans la même interview, Adele a également a répondu au contrecoup d’un Instagram photo de l’année dernière, disant qu’elle comprend « totalement » pourquoi les gens l’accusaient d’appropriation culturelle.

Août dernier, elle a partagé une publication Instagram pour marquer ce qui aurait été le week-end de Notting Le célèbre carnaval de Hill, qui a été annulé pour la première fois depuis plus de 50 ans en raison de la pandémie.
Sur la photo, la chanteuse portait un haut de bikini arborant le drapeau jamaïcain, tandis que ses cheveux étaient noués en nœuds bantous.
À l’époque, de nombreuses personnes affirmaient qu’elle s’appropriait culturellement la culture noire à travers son choix de vêtements et de coiffure.
Réfléchissant aux retombées plus d’un an plus tard, Adele a is qu’elle « n’avait pas lu la chambre f *****g ».

S’exprimant dans son interview Vogue, elle a dit: « Je pouvais voir des commentaires comme « le culot de ne pas le retirer », ce que je comprends totalement. Mais si je l’enlève, c’est moi qui fais comme si ça ne s’était jamais produit.
« Et ça l’a fait. Je comprends parfaitement pourquoi les gens pensaient que cela s’appropriait.
« J’avais pensé que si vous n’allez pas vous habiller pour célébrer la culture jamaïcaine – et à bien des égards, nous sommes tellement liés dans cette partie de Londres – alors c’est un peu comme, ‘Pourquoi venez-vous, alors?’
« Je n’ai pas lu le f*****g pièce. Je portais une coiffure qui sert en fait à protéger les cheveux afro. La mienne en ruine, évidemment. »
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